La parc de la maison diocésaine

Le parc de la maison diocésaine occupe une surface d’environ 15000 m2. Un certain nombre d’espèces végétales et animales s’y côtoient et apparaissent au fur et à mesure des saisons. Des narcisses et géraniums vivaces au printemps, aux perce-neiges en fin d’hiver, en passant par les hydrangeas et les dahlias l’été… pour ne citer que quelques espèces. Les arbres ne sont pas en reste : cèdre majestueux, hêtres, tilleuls, sans oublier les arbres fruitiers : poiriers, pommiers, pruniers, figuier. Lire la suite

Le règne animal n’a rien à leur envier, en commençant par les écureuils agiles. Citons aussi merles, mésanges, ou pic-vert, sans compter les nombreux insectes et invertébrés.

Ces quelques énumérations sont bien incomplètes mais le sujet n’est pas ici de faire un inventaire. Il est bien plus question d’évoquer le parc, comme un lieu de respiration et de méditation. Les salariés y vont peu, les diocésains qui viennent pour une réunion de 2 ou 3h arrivent juste à l’heure et se précipitent à la fin pour récupérer leur voiture (ou leur vélo). On pense alors aux participant(e) d’une récollection ou d’une retraite spirituelle, comme les religieuses de la Ste famille en juillet dernier. Les participants d’une journée de formation ou de concertation profitent parfois de la pause juste après le repas ;

Pour tous, la météo aide ou ralenti les ardeurs !

Que ces quelques lignes soient pour tous une invitation à prendre le temps de contempler les bourgeons qui éclatent au printemps, les feuilles colorées de l’automne, pour sentir, en juillet, le tilleul en fleurs ou, en décembre, les laurier-thym.

On peut aussi se mettre à l’écoute des oiseaux, des cris de joie des enfants qui font du sport pas très loin, …et finalement pour reprendre souffle au milieu d’une journée ou d’un week-end, ou à l’occasion d’un passage.

Philippe Saguez, directeur de la maison diocésaine