Journée mondiale du malade: «Il n’est pas bon que l’homme soit seul»

À l’occasion de la 32e édition de la Journée mondiale du malade, qui aura lieu le 11 février 2024, le Pape François rappelle l’importance de l’accompagnement et de la tendresse envers les personnes malades. Critiquant la culture du rejet des personnes fragiles qui se répand dans nos sociétés, le message de François s’articule autour de l’extrait du livre de la Genèse: «Il n’est pas bon que l’homme soit seul».

Chaque 11 février, lors de la fête de Notre-Dame de Lourdes, se déroule la Journée mondiale du malade. En 1992, saint Jean-Paul II a créé cette journée spéciale pour les personnes dont la vie est bouleversée par la maladie et la souffrance.

Pour cette 32e édition, le Pape François a choisi d’évoquer l’importance des relations humaines dans le soin médical. S’appuyant sur le premier livre de la Bible, celui de la Genèse, le Saint-Père explique que «dès le début, Dieu, qui est amour, a créé l’être humain pour la communion, en inscrivant dans son être la dimension des relations». Ainsi, la vie humaine à l’image de la Trinité «est appelée à se réaliser pleinement dans le dynamisme des relations, de l’amitié et de l’amour réciproque».