Donner me procure de la joie…

La  question des ressources est une préoccupation essentielle pour donner à l’Eglise les moyens de sa mission … Pour Paul, étudiant et Françoise, paroissienne; donner au Denier est aussi l’expression joyeuse d’une reconnaissance…

« Contribuer au financement de l’Église par l’intermédiaire du denier de l’Eglise est un acte fraternel qui permet de répandre et de faire connaitre l’Évangile dans le diocèse. Être jeune n’est en rien un obstacle pour participer au Denier, c’est au contraire un moyen de manifester son attachement à son diocèse, même si l’on est étudiant dans une autre ville.
Il est toujours bon de se dire que quelques heures d’un travail étudiant que nous allons faire, ou la bière que nous n’allons pas boire va permettre à l’Église et au diocèse de fonctionner.
Je pense sincèrement que le montant du don ne doit pas être une problématique, chacun doit pouvoir donner en fonction de ses capacités et en ayant conscience de la nécessité de son geste pour le diocèse. Ce dernier doit, en effet, faire face à de nombreuses dépenses qui permettent à tous les catholiques de vivre leur foi pleinement et librement.
C’est une grande joie pour moi de savoir que le don fait, même modeste, servira à apporter une aide matérielle ou spirituelle à mon prochain. »

Paul, étudiant

« Je donne en action de grâce pour le don du Seigneur à mon égard, par amour pour l’œuvre du Seigneur, afin qu’elle vive, croisse, et perdure jusqu’à ce qu’Il revienne. Je considère l’Eglise comme ma « mère ». Puisque cette Eglise ne bénéficie d’aucune subvention de l’Etat, j’estime qu’il m’incombe, en tant que membre du Corps du Christ, de contribuer selon mes moyens, aux dépenses de fonctionnement. Cet engagement me procure de la joie, fortifie ma foi, me fait prendre part à la mission de l’Eglise. »

Françoise, paroissienne