le Casuel, quézako?

A l’occasion de certaines étapes clés de l’existence, les fidèles souhaitent recevoir un sacrement ou vivre une célébration. Lorsqu’ils demandent à l’Église le sacrement du baptême ou du mariage, les chrétiens sont invités à préparer la célébration avec la communauté et le célébrant. A cette occasion, il est demandé de verser à l’Église un casuel. Lors des funérailles à l’Église, il est également demandé de participer par le casuel à la vie de l’Église locale que l’on sollicite ponctuellement. Le terme vient de « cas » pour désigner cette offrande que l’on fait au cas par cas, pour des cérémonies bien identifiées. Cette contribution permet de participer aux frais occasionnés lors de ces célébrations et plus largement aux frais généraux de la paroisse et de la vie de l’Église. Ceux qui versent le casuel témoignent ainsi de leur lien à l’Église qui les accueille. Ce n’est pas un tarif ni un prix: chacun est appelé à donner en fonction des sommes engagées par ailleurs pour la circonstance. Si une famille n’est pas en mesure de donner un casuel, elle n’en donne tout simplement pas.

« Nous t’en supplions, Dieu tout-puissant: Toi qui refais nos forces par tes sacrements, donne-nous aussi de pouvoir te servir par une vie qui te plaise. »