Bienvenue dans notre Diocèse! Rencontre avec Don Xandro

Suite aux nominations de Mgr le Stang, nous avons la joie d’accueillir au sein de nos paroisses de nouveaux pasteurs. Et si nous faisions connaissance avec eux ? Pour notre premier portrait, je vous propose de rencontrer Don Xandro Pachta Reyhofen, prêtre de la Communauté Saint Martin, nommé vicaire de la Paroisse Saint Jean Baptiste à Amiens

Don Xandro, vous êtes un nouveau visage à la Paroisse Saint-Jean Baptiste d’Amiens, pouvez-vous nous en dire un peu plus sur vous ?
Souvent les gens sont un peu perdus quant à mes origines. Le prénom semble pointer vers les pays latins, mais cela cadre mal avec l’accent qui suggère quelque chose de plus au nord ou à l’est… La vérité est que je suis Autrichien, Xandro étant un diminutif d’Alexander, et donc bien le produit de cette Europe centrale où nord et sud, est et ouest se rencontrent.

Que dire d’autre ? J’aime le Christ et l’Eglise, j’aime rire et débattre, j’aime le sport et la bière, ainsi que les bonnes histoires dans les livres ou les films.

Votre âge, votre parcours avant d’arriver dans la capitale picarde ?J’ai 36 ans et 5 ans de sacerdoce. J’ai passé les six dernières années à Soissons, où j’ai été vicaire de la paroisse cathédrale et d’une autre paroisse, ainsi que prêtre référent dans un collège et lycée.  Soissons fut mon premier poste, avant cela j’étais donc séminariste à la maison de formation de la Communauté Saint Martin. Dans une autre vie j’ai fait des études de philosophie à Paris et puis de management à Londres. Et si on remonte encore plus haut, on me retrouve à Vienne où j’ai grandi.

Avez-vous déjà rencontré les paroissiens ? Quelles sont vos toutes premières impressions ?
Oui, j’ai déjà eu la joie de faire la rencontre d’un certain nombre de paroissiens qui m’ont fait un très bon accueil. J’ai l’impression qu’il y a beaucoup de personnes qui s’engagent généreusement dans les différents services paroissiaux et qui cherchent vraiment à répandre la Bonne nouvelle. Et puis, même si les personnes comptent davantage que les pierres, comment ne pas être subjugué par cette cathédrale magnifique que j’ai le privilège de fréquenter quotidiennement.

Propos recueillis par Nelly Berneaux