« Dans la maladie, Marie un soutien, une espérance »
« Faites, faites frapper une médaille sur ce modèle.Les personnes qui la porteront avec confiance recevront de grandes grâces».
Atteinte d’un cancer puis d’une récidive, j’ai confié ma vie à Dieu. Ma sœur m’a alors offert la médaille miraculeuse de la chapelle de la rue du Bac à Paris ainsi que la prière des malades*; depuis elle ne me quitte jamais.
J’ai prié et j’ai reçu le sacrement des malades. Pendant les mois de traitement, portée par l’amour de ma famille et de mes amis, une grande paix m’habitait jusqu’aux résultats inattendus : rémission ! Il en est ainsi depuis cinq ans.
En 2015 je participais pour la première fois au pélerinage diocésain à Lourdes. en action de grâces. Je n’oublierai jamais mes premiers instants à la grotte entourée de pélerins. Lourdes c’est comme un avant-goût du royaume de Dieu plein de fraternité.
Marie est toujours présente dans ma vie qui a complètement changé depuis. En tant que femme et Maman je me sens proche d’Elle. Elle me prend par la main vers Dieu si grand. Sa confiance en Dieu , son oui sans condition, sa disponibilité sont des modèles pour moi.
Que ce soit Catherine Labouré rue du Bac ou Bernadette Soubirou à la grotte, Marie s’adresse aux plus humbles et aux plus petits. Vers eux aussi Marie et Jésus me guident.
Françoise
La prière des malades
Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
c’est avec confiance que je tourne
vers Vous mon regard filial.
Je sais et je crois
que vous m’accompagnez dans mon épreuve,
comme vous l’avez fait pour Jésus, votre Fils,
sur le chemin du calvaire.
Quand ma croix sera trop lourde,
aidez-moi à la porter
et à ne pas perdre courage.
Vierge Marie, notre Mère
priez pour moi ainsi que pour tous ceux
qui me manifestent leur affection.
Que par votre intercession,
Jésus votre Fils,
nous comble de sa Paix
et nous garde dans l’Espérance.
Prière de Jean Paul II lors de sa visite à la chapelle de la médaille miraculeuse en 1980
« Ô Marie conçue sans péché,
priez pour nous
qui avons recours à vous »
Telle est la prière
que tu as inspirée, ô Marie,
à sainte Catherine Labouré,
en ce lieu même, voilà cent cinquante ans;
et cette invocation, désormais gravée sur la Médaille,
est maintenant portée et prononcée
par tant de fidèles dans le monde entier! […]
Tu es bénie entre toutes les femmes!
Tu as été associée intimement
à toute l’oeuvre de notre Rédemption,
associée à la Croix de notre Sauveur;
ton cœur a été transpercé, à côté de son cœur.
Et maintenant, dans la gloire de Ton Fils,
tu ne cesses d’intercéder pour nous,
pauvres pécheurs. Tu veilles sur l’Eglise dont tu es la Mère.
Tu veilles sur chacun de tes enfants.
Tu obtiens de Dieu, pour nous, toutes ces grâces
que symbolisent les rayons de lumière
qui irradient de tes mains ouvertes,
à la seule condition que nous osions Te les demander,
que nous approchions de Toi
avec la confiance, la hardiesse, la simplicité d’une enfant.
Et c’est ainsi que Tu nous mènes sans cesse
vers Ton divin Fils.